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Jean-François Guégan commence par rappeler quelques faits et rectifier quelques malentendus. Par exemple, que l’on meurt actuellement dans le monde plus de maladies infectieuses d’origine bactérienne que de maladies d’origine virale, en dépit d’une recrudescence d’épidémie et de pandémie. On dispose de peu d’évidences dans la viande de brousse dans la formation et la transmission du virus.
Jean-François Guégan présente une série de statistiques simples sur la question des agents parasitaires et infectieux en matière de biodiversité.
Jean-François Guégan commente une carte qui présente les déterminants et localisation des principales émergences d’origine zoonotique dans les populations humaines depuis une cinquantaine d’années. Il fait apparaître le rôle de l’agriculture intensive et de l’élevage d’animaux.
Jean-François Guégan illustre concrètement le lien entre biodiversité et virose avec l’ulcère de Buruli, à a fois naissante et négligée, via une mycobactérie qui se contracte via eaux stagnantes.